À André Falconet, le 18 mars 1659
Note [8]
Le roi d’Espagne, Philippe iv, avait promis au prince de Condé, alors esseulé et sans argent à Bruxelles, qu’il ne signerait pas de paix si le traité ne contenait pas des mesures assurant la sauvegarde et le rétablissement de celui qui s’était rebellé contre la Couronne de France pour se mettre à son service. Ces délicates négociations touchant M. le Prince étaient la principale cause de la lenteur des pourparlers (v. note [13], lettre 590).