À André Falconet, le 6 mai 1659
Note [1]
« d’une podagre qui s’est très vite résolue et à laquelle aussitôt, et presque immédiatement, ont succédé des douleurs néphrétiques extrêmement aiguës et atroces ; pour les soulager on l’a saigné six fois ; puis enfin, avec de grandes tortures, un très gros calcul est descendu dans la vessie, d’où il n’est pas encore sorti ; il était fébrile, il avait soif et il ne dormait pas. »