À André Falconet, le 27 mai 1659
Note [8]
Quintaine : « pal, poteau ou jacquemart qu’on fiche en terre, où l’on attache un bouclier pour faire des exercices militaires à cheval, jeter des dards, rompre la lance. Cet exercice est hors d’usage. […] En quelques lieux cet exercice s’appelle courre le faquin » (Furetière).
Faquin a ici le sens de « fantôme ou homme de bois qui sert à faire les exercices de manège, contre lequel on court pour passer sa lance dans un trou qui y est fait exprès » (ibid.).