À Charles Spon, le 27 juin 1659
Note [a]
Du Four (édition princeps, 1683), no lxxx (pages 263‑265), et Bulderen, no cxlvi (tome i, pages 383‑384), à Charles Spon ; Reveillé-Parise, no cccclxxxii (tome iii, pages 143‑144), à André Falconet. Spon m’a paru plus plausible pour le ton de l’histoire qui y est racontée, pour les salutations complices à « Mademoiselle votre femme » (Marie Spon, que Patin avait rencontrée, alors qu’il ne connaissait Catherine Falconet que de nom) et pour l’absence d’allusion à Noël Falconet, alors étudiant à Paris sous la garde de Patin.