À Claude II Belin, le 6 août 1659
Note [2]
« et y appliquaient toutes leurs forces ». Contrairement à la Couronne de France, celle d’Espagne n’avait jamais montré la moindre tolérance à l’égard des protestants, les considérant, au même titre que les musulmans, comme du gibier bon pour l’Inquisition.