Guy Patin a employé cette expression deux autres fois en ajoutant que le mort avait déjà perdu l’esprit avant son décès.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 16 mars 1660, note 13.