À Hugues II de Salins, le 16 mars 1660
Note [22]
V. notes [27], lettre 337, et [41] du Patiniana I‑2 pour Edmond Richer, son livre De Ecclesiastica et Politica potestate [sur la Puissance ecclésiastique et politique] et le richérisme. Il n’y a pas eu à cette époque d’édition complète des œuvres de Richer, mais son De ecclesiastica… et son Testamentum ont été réédités à Paris en 1660, in‑12. Les partisans de Richer, le plus ardent défenseur du gallicanisme (insoumission de l’Église catholique de France à Rome), prirent le nom de richéristes.
À proprement parler, Richer avait été syndic de l’Université de Paris (v. note [27] des Décrets et assemblées de 1650-1651 dans les Commentaires de la Faculté de médecine de Paris), et non pas de la seule Sorbonne (dont il était docteur de théologie).