À Hugues II de Salins, le 15 avril 1660
Note [13]
« La saignée seule peut supprimer le danger d’étouffement, qu’elle écarte alors très puissamment. » En thérapeutique moderne, la saignée est bénéfique dans la dyspnée liée à l’œdème du poumon, mais inefficace dans l’asthme ; on peut dire la même chose des purgatifs, dans la mesure où certains d’entre eux pouvaient être doués de quelque effet diurétique.