À Hugues II de Salins, le 26 mai 1660
Note [4]
« Il ne faut pas purger dans la vraie pleurésie si la maladie n’est pas éteinte et la fièvre jugulée, et s’il n’est pas avéré que l’élancement a disparu et que la liberté de respirer a été retrouvée. Ensuite, il faut purger ceux qui ont surmonté la pleurésie, avec casse et séné auxquels on ajoute pour la seconde prise les sirops cathartiques de roses pâles ou de fleurs de pêcher, jusqu’à une once. »