À André Falconet, le 2 juillet 1660
Note [10]
« de fréquente douleur néphrétique et d’une podagre extrêmement vive. “ La mort vient même aux rochers et aux marbres ” [altération maladroite d’un vers d’Ausone, v. notes [1], lettre de Charles Spon, le 21 novembre 1656, et [21], lettre 557]. »