À André Falconet, le 3 août 1660
Note [1]
« la vraie cause d’un tel ajournement est l’incertitude et le doute sur la maladie de l’empourpré [Mazarin] ; une fausse rumeur colporte la renommée et les vertus des eaux de Bourbon disant qu’elles ont guéri ce mal, sans y avoir concouru en aucune façon. »