« Ce sont coteries auliques dont les hommes s’enivrent, comme du vin le plus doux ».
Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 12 novembre 1660, note 2.