À Charles Spon, le 28 janvier 1661
Note [12]
Charles Spon, avec sa Sybilla, s’étant lui-même occupé à traduire en vers latins des textes hippocratiques (v. notes [6] et [7] de sa lettre datée du 15 janvier 1658), avait interrogé Guy Patin sur ce qu’avait fait François Duport (v. note [2], lettre 359) à la fin du xvie s. Il lui répondait en indiquant deux ouvrages de Duport :
[Le Livre du Pronostic d’Hippocrate de Cos, sans conteste le prince de tous les médecins, donné en vers…] ; {a}
[Les sept livres des Aphorismes d’Hippocrate donnés en vers…]. {b}