À André Falconet, le 18 février 1661

Note [1]

Début de la pensée v, livre iv, des Pensées de Marc-Aurèle : {a}

« La mort est, comme la naissance, un mystère de la nature », {a} dont la suite dit « combinaison dans l’une des mêmes éléments qui se séparent dans l’autre. En somme, rien dont on puisse être déshonoré, car mourir n’est pas contraire à la disposition d’un animal raisonnable ni à la logique de sa constitution. »


  1. « De ses propres affaires, ou au sujet de soi-même et pour soi-même » est le titre complet des Pensées pour moi-même de Marc-Aurèle (Marcus Aurelius Antoninus, 121-180), empereur romain en 161, ouvrage de philosophie stoïcienne rédigé en grec et divisé en 12 livres.

  2. phuseôs mustêrion en grec.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 18 février 1661, note 1.

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(Consulté le 19/04/2024)

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