« plane sur lui le péril d’une suffocation, par putréfaction et vive intempérie des viscères, qui engendre beaucoup de sérosité. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 26 février 1661, note 19.