À Charles Spon, le 21 février 1662
Note [2]
V. note [8], lettre 709, pour le traité sur les signes des maladies d’Estevan Roderigo de Castro (Lyon, 1661).
Le coche d’eau, bateau public et couvert qui servait à « voiturer les personnes et les marchandises sur les rivières; » (Furetière), était tiré par des chevaux pour remonter le courant. Celui de Lyon empruntait la Saône jusqu’à Chalon (en deux jours et demi, mais seulement deux en sens inverse), où voyageurs et bagages étaient déchargés pour prendre la route de Paris par Nevers, Briare, Montargis et Fontainebleau.