À Charles Spon, le 19 décembre 1662
Note [13]
« dans toute cette corruption des mœurs je pense qu’il n’y a presque rien à espérer, on n’a en effet vu aucune place survivre à une si terrible correction, et la mentalité de ces temps auxquels le Seigneur nous a réservés ne supporte rien de tel. »
Comme tous les ennemis de la papauté, Guy Patin rêvait que Louis xiv infligeât une rude correction à Rome.