À Charles Spon, le 23 mars 1663
Note [3]
Guy Patin reprenait avec malice et délectation une médisance que Pierre i Sanche colportait. Elle n’était pas dénuée de tout fondement : dans la dernière section, Ombres et lueurs, des Deux Vies latines de Jean Héroard, premier médecin de Louis xiii, j’ai réuni les doutes qui peuvent planer sur le doctorat en médecine que lui aurait conféré l’Université de Montpellier.