À Charles Spon, le 29 juin 1663
Note [1]
« et s’en est trouvée beaucoup plus mal » ; v. note [20], lettre 748, pour l’affirmation du contraire par Mme de Motteville sur la santé d’Anne d’Autriche, mais elle écrivait avec bien plus d’intimité et de bienveillance que n’en avait Guy Patin.