À André Falconet, le 30 mai 1664
Note [6]
« La curie donne des soucis [v. note [4], lettre 58] ; “ à d’autres, mais pas à moi [v. note [59], lettre 101], car on m’a enseigné que les dieux mènent une vie paisible ” ». Le passage exact d’Horace (Satires, livre i, 5, vers 100‑101) est :
credat Iudæus Apella,
non ego ; namque deos didici securum agere ævum.