Fleurette « ne se dit qu’au figuré de certains petits ornements du langage et des termes doucereux dont on se sert ordinairement pour cajoler les femmes » (Furetière).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 29 septembre 1664, note 8.