À André Falconet, le 7 octobre 1664

Note [9]

« On dit rompre l’anguille au genou pour se moquer des gens qui prennent une manière de faire quelque affaire qui n’est pas propre pour y réussir. On disait autrefois rompre l’andouille au genou, dans le même sens » (Furetière). L’anguille est souple et glisse des mains, il est impossible de la rompre sur son genou, comme on fait d’un bâton.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 7 octobre 1664, note 9.

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(Consulté le 19/04/2024)

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