« parce qu’il n’usait que de peu de médicaments, qui lui étaient familiers et qu’il choisissait avec bonheur. »
Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 14 novembre 1664, note 5.