À André Falconet, le 3 mars 1665

Note [5]

Guy Patin se complaisait lui-même à médire de Mme d’Aiguillon, nièce de Richelieu, en insinuant qu’ils étaient mère et père de ceux qu’on appelait ses trois neveux (v. note [37], lettre 487).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 3 mars 1665, note 5.

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(Consulté le 23/04/2024)

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