À André Falconet, le 4 septembre 1665
Note [12]
« parce que quiconque est né doit mourir, et laissera enfin une place vide pour un autre qui recevra sa cléricature avec allégresse et “ puisera les eaux avec joie aux sources du Sauveur ” [Isaïe, v. note [19], lettre 500]. »