À André Falconet, le 18 septembre 1665
Note [7]
Unique mention par Guy Patin du poète François de Malherbe (Caen 1555-Paris 1628). Malherbe est toujours célébré pour avoir établi le classicisme des belles-lettres françaises : « Enfin Malherbe vint… » (Nicolas Boileau-Despréaux, L’Art poétique). Il a été le maître de Jean-Louis Guez de Balzac, qui n’a pas ménagé sa mémoire (v. note [18], lettre 270).
Je n’ai pas trouvé le passage des œuvres de Malherbe auquel Patin faisait ici allusion.