À André Falconet, le 22 décembre 1665
Note [4]
Expression empruntée au récit de Jacques-Auguste i de Thou sur Renaud de Beaune : v. note [54] du Borboniana 9 manuscrit.
L’Esprit de Guy Patin a ajouté deux phrases à ce passage : v. note [28] du Faux Patiniana II‑3.