À André Falconet, le 1er janvier 1666

Note [6]

« Que nul n’en dise rien, c’est le talent de la noire cohorte. » Il faut croire qu’à ses heures perdues, Charles Delorme (v. note [12], lettre 528), dont Guy Patin était alors fort entiché, versifiait en latin (contre les jésuites).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 1er janvier 1666, note 6.

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(Consulté le 29/03/2024)

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