À André Falconet, le 6 novembre 1666
Note [3]
« homme et brutes partagent un même et unique sort » ; L’Ecclésiaste (3:19) :
Idcirco unus interitus est hominis et iumentorum et æqua utriusque conditio sicut moritur homo sic et illa moriuntur similiter spirant omnia et nihil habet homo iumento amplius cuncta subiacent vanitati.
[De fait, le sort de l’homme et celui des brutes de somme sont les mêmes : l’un meurt, l’autre aussi ; ils ont le même souffle tous les deux ; la supériorité de l’homme sur la bête est nulle, car tout est vanité].