« les yeux des hommes de cette sorte, souffleurs et vauriens, sont éblouis par un si grand soleil, dont ils ne peuvent supporter les rayons très pénétrants. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 22 février 1667, note 29.