À André Falconet, le 20 mars 1667

Note [1]

Déprix, comme l’indique sa mise en italique dans Bulderen, ne se trouve dans aucun dictionnaire et semble être un synonyme de dépréciation. Sinon, par ignorance d’un vieux mot du droit féodal, le transcripteur initial a pu remplacer « dépri » par « déprix des monnaies ». Dépri s’accorde en effet mieux avec la phrase qui précède : c’était la déclaration, au bureau des aides, du vin et autres denrées qu’on souhaitait transporter pour les vendre, en vue d’en payer les taxes après qu’on les avait vendus.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 20 mars 1667, note 1.

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(Consulté le 16/04/2024)

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