À André Falconet, le 7 mars 1668
Note [1]
Cette lettre a malheureusement été égarée. Celle-ci nous donne donc la première relation que nous ayons de Guy Patin regardant l’exil et la condamnation de son bien-aimé fils Charles. Les lettres disponibles ne nous disent rien d’un autre événement troublant dans la vie de Guy Patin : la cession volontaire de toute sa bibliothèque, livres, tableaux et étagères, à son fils aîné Robert, signée le 14 décembre 1667 par devant les notaires parisiens Jacques Despriez et Pierre Gallois (v. La bibliothèque de Guy Patin et sa dispersion).