À André Falconet, le 7 mars 1668
Note [11]
La suite de la lettre, où Guy Patin retrouvait son ton ordinaire, montre qu’il était inquiet et décontenancé, mais non pas abattu : sans doute croyait-il alors que ses relations haut placées au Parlement aideraient son cher Carolus à se tirer d’affaire.