Guy Patin a corrigé « doux » en « bénin » ; doucet : « diminutif de doux, qui se dit proprement d’une mine doucette, où il entre un peu du niais ou de l’hypocrite » (Furetière).
Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 4 août 1668, note 1.