À André Falconet, le 28 août 1669
Note [2]
« C’est une saine et sainte méditation de prier pour les morts, afin qu’ils soient délivrés du péché » ; adaptation du Second Livre des Maccabées (12:46) :
Sancta ergo et salubris cogitatio pro defunctis exorare ut a peccato solverentur. [Voilà pourquoi il fit faire ce sacrifice expiatoire pour les morts, afin qu’ils fussent délivrés de leur péché].