Il a pour la première fois été question de cette dette de M. Virelle, avocat provençal, à l’égard de Charles Patin, au début de la lettre à Charles Spon datée du 22 juin 1668 (v. sa note [2]).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 23 octobre 1671, note 1.