La dette de l’avocat Virelle envers Charles Spon était de cent livres (v. note [2], lettre 933).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 décembre 1671, note 7.