À Gilles Ménage, le 20 juillet 1651

Note [27]

« Il n’y a donc rien de bon à la tabacocapnie par nez et par bouche » : {a} conclusion négative de la thèse cardinale portant sur la question An cui bono tabaccocapnia per nares et os ? [Y a-t-il quelque chose de bon à la tabacocapnie par nez et par bouche ?], disputée le 2 avril 1626 par le bachelier Urbain Bodineau {b} sous la présidence de Jacobus Letus. {c}


  1. La tabacocapnie est le nom qu’on donnait alors à l’inhalation du tabac, sous forme de fumée ou de prise.

  2. V. note [2], lettre 12.

  3. Docteur régent de la Faculté de médecine de Paris, natif d’Aberdeen en Écosse, reçu en 1604.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Gilles Ménage, le 20 juillet 1651, note 27.

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(Consulté le 25/04/2024)

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