À Thomas Bartholin, le 31 juillet 1654
Note [4]
« sur la nature vénéneuse de l’antimoine chimystique » : v. note [18], lettre 252, pour ce traité de Jean ii Riolan qui n’a jamais vu le jour.
Riolan n’a pas publié de suite à ses anonymes Curieuses recherches sur les écoles de médecine de Paris et de Montpellier contre Siméon Courtaud (Paris, 1651, v. note [13], lettre 177).