À Johannes Antonides Vander Linden, le 7 juillet 1656
Note [10]
Le libre commerce du tabac était alors assuré par les herboristes et droguistes, concurrents ouverts des pharmaciens (apothicaires) car ils vendaient au public des remèdes végétaux simples et peu coûteux ; ceux que recommandaient notamment le Médecin charitable ou le Traité de la Conservation de santé, si chers à Guy Patin.