À Johannes Antonides Vander Linden, le 3 novembre 1656
Note [11]
« Vous savez que l’humeur des vieillards est vraiment capricieuse ; mais j’agirai en habile médecin, je saisirai l’occasion favorable, je chercherai le bon moment pour lui en parler et les approches caressantes ; et quand je les aurai trouvés, je m’en servirai judicieusement pour votre affaire. < Je me réjouis beaucoup que > votre très distingué Vorst ait reçu le Théophraste d’Hofmann, etc. » : reproduction mot à mot (à l’exception du passage mis entre chevrons) de ce qu’avait écrit Guy Patin dans sa lettre du 7 juillet précédent, dont il avait sans fini par retrouver le brouillon.
V. note [1], lettre latine 50, pour les deux anciens Celse annotés par divers érudits, que Guy Patin avait envoyés à Johannes Antonides Vander Linden, et pour celui de Jean ii qu’il espérait aussi lui obtenir.