À Jan Van Hoorne, le 3 novembre 1656
Note [3]
V. note [3], lettre 390, pour la Defensio altera [Seconde Défense] de Charles Guillemeau (1655), qui n’avait pas été précédée d’une Defensio prima [Première Défense]. Jan Van Hoorne devait un peu s’y perdre dans les titres, pompeux ou injurieux, des libelles qui nourrissaient la querelle opposant les docteurs régents de Paris à ceux de Montpellier depuis 1644 (procès des Parisiens gagné contre Théophraste Renaudot).