À Johannes Antonides Vander Linden, le 4 janvier 1657
Note [7]
V. note [2], lettre 121, pour une autre thèse présidée (et probablement écrite) par Jean iii Des Gorris en 1625, concluant qu’on accusait injustement les médecins parisiens de prescrire trop généreusement la saignée.