À Christiaen Utenbogard, le 2 février 1657
Note [1]
Ecclésiastique (6:16) :
Amicus fidelis medicamentum vitae et inmortalitatis et qui metuunt Dominum inveniunt illum.[L’ami fidèle est un remède de vie et d’immortalité, et ceux qui craignent le Seigneur le trouveront].