À Johannes Antonides Vander Linden, le 9 février 1657

Note [19]

« nul n’est tenu d’en rendre compte » : Nemo rationem otii sui reddere cogeretur [Nul n’est tenu de rendre compte de son loisir] (Suétone, Vie des douze Césars, livre vii, Vie de Galba, chapitre ix, § 3).

Dans la 3e édition de ses deux livres de Scriptis medicis [des Écrits médicaux] (Amsterdam, 1662, , v. note [29], lettre 925), Johannes Antonides Vander Linden est resté circonspect sur les vies des deux médecins dont Guy Patin l’entretenait ici avec passion.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 9 février 1657, note 19.

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(Consulté le 18/04/2024)

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