À Johann Georg Volckamer, le 10 août 1657
Note [2]
V. notes [16], lettre 1020, pour Philippe Riolan, abbé de Flavigny, fils aîné de Jean ii Riolan, et [34], lettre 207, pour la source du procès qu’il avait engagé dès la fin de 1651 contre son second fils Henri, avocat. Le père l’avait gagné au printemps 1653 et obtenu que le mariage de Henri fût cassé. En 1655, Riolan avait même fait emprisonner Henri, puis l’avait déshérité au début de 1657, peu avant de mourir.