À Johann Georg Volckamer, le 25 février 1661

Note [2]

« qu’un médecin se permette de prescrire parfois à ses malades certains médicaments choisis contre le gré et la volonté des pharmaciens » : v. note [4], lettre latine 127, pour ce propos de Thomas Reinesius dans sa Chimiatria (Gera, 1624).


Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Lettre de Guy Patin à Johann Georg Volckamer, le 25 février 1661, note 2.
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(Consulté le 23.03.2023)

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