À Adolf Vorst, le 3 janvier 1662
Note [6]
Guy Patin reprenait l’adage « devoir un coq à Esculape » que lui avait cité Adolf Vorst : v. notes [1] et [2] de sa lettre datée du 4 novembre 1661, pour le coq qu’on sacrifiait à Esculape en remerciement d’avoir guéri d’une maladie, et pour la possible typhoïde qui avait durement frappé Patin en octobre 1661 (v. note [1], lettre 717) et dont il n’était toujours pas tout à fait remis ; ce qui explique pourquoi il dictait alors ses lettres.