À Johannes Antonides Vander Linden, le 8 février 1662
Note [4]
Les héritiers de René Chartier qui se déchiraient dans un interminable procès.
V. note [4], lettre latine 138, pour les tomes vii et xi des œuvres d’Hippocrate et Galien éditées par Chartier (Paris, 1649), que Johannes Vander Linden voulait acheter à la veuve de l’auteur, mais s’impatientait d’attendre.