Ces ouvrages de Marten Schoock, tous publiés à Groningue, sont :
la Disquisitio circa Decalogum, speciatim quartum præceptum de Sabbato. Cujus perpetua moralitas sic vindicatur, ut tamen præsidium non inveniant aut Judaizantes, aut illi, qui diem, Domino sacrum, profanare instituunt : Simul ; Tum ex professo, tum incidenter, varii Scripturæ Textus singulari ratione explicantur [Recherche sur le Décalogue, en particulier sur la quatrième commandement concernant le Sabbat. Son caractère perpétuel est revendiqué, de sorte que les judaïsants, comme ceux qui ordonnent de profaner le jour consacré au Seigneur n’y trouveront pourtant pas de justification. Divers textes de l’Écriture sont aussi expliqués de manière spéciale, tant à dessein qu’incidemment] (Franciscus Bronchorstius, 1660, in‑12), les profanateurs du sabbat étaient les disciples de Gisbertus Voetius (v. note [11], lettre de Christiaen Utenbogard, datée du 21 août 1656) ;
son livre « des Biens ecclésiastiques » (1651, v. note [25], lettre susdite de Christiaen Utenbogard), contre les attaques de Voetius ;
le Collegium logicum, compendiose non minus exhibens præcepta et controversias logicas quam utrorumque praxin… [Collège logique, sous forme d’un résumé qui ne montre pas moins les préceptes et les controverses logiques, que leurs démonstrations…] (veuve d’Edzardus Agricola, 1658, in‑8o) ;
le Tractatus de Inundationibus, iis maxime quæ Belgium concernunt. Quatuor Disputationibus propositus in Academia Groningæ et Ammelandiæ [Traité des Inondations, principalement celles qui intéressent les Flandres. Présentée en quatre Disputations à l’Université de Groningue et Ommelanden] (Joannes Collenius, 1652, in‑8o) ;
la Disputatio historica exhibens C. Octavium Cæsarem Augustum [Discussion historique décrivant César Auguste] (1647, v. 8e référence de la note [2], lettre 719) est son son seul ouvrage qui ait une relation avec Suétone, auteur des « Vies des douze Césars ».
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Christiaen Utenbogard, le 13 octobre 1662, note 4.